DNCA Invest SRI Europe Growth
Actions européennes croissance
Art.8
Assurance vie
PEA

Points clés
Une sélection de sociétés européennes de croissance jugées de qualité
- Une gestion active et fondamentale investie sur les valeurs de croissance paneuropéennes jugées de qualité.
- Une sélection d’émetteurs reposant sur 9 critères financiers et extra-financiers.
- Un portefeuille concentré investi dans des entreprises associant croissance visible et durable selon l’analyse de l’équipe de gestion.
Commentaire de gestion Août 2025
Valeur Liquidative
304,85 €
Niveau de risque
A risque plus faible
A risque plus élevé
Risques :
- Risque lié à la gestion discrétionnaire
- Risque actions
- Risque de liquidité
- Risque en perte de capital
- Risque de taux
- Risque de change
- Risque d'investir dans des instruments dérivés ainsi que des instruments intégrant des dérivés
- Risque de crédit
- Risque de contrepartie
- Risque lié à la détention d’obligations convertibles, échangeables ou remboursables
- Risque ESG
- Risque de durabilité
performances et volatilités
au 17/09/2025
Performance
depuis le début de l'année
depuis le début de l'année
-0,92%
-0,43%
+3,63%
+19,54%
17,72%
Notes
*Part créée le 28/12/2012
Équipe de gestion
Carl Auffret, CFA
CFA – Gérant actions européennes
Carl Auffret est titulaire du CFA*, d'une Maîtrise de Gestion et d'un DESS « Banque et Finance » obtenus à l’Université Paris IX Dauphine.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
Carl Auffret, CFA
CFA – Gérant actions européennes
Carl Auffret est titulaire du CFA*, d'une Maîtrise de Gestion et d'un DESS « Banque et Finance » obtenus à l’Université Paris IX Dauphine.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
Carl Auffret, CFA
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Carl Auffret est titulaire du CFA*, d'une Maîtrise de Gestion et d'un DESS « Banque et Finance » obtenus à l’Université Paris IX Dauphine.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
Carl Auffret, CFA
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Carl Auffret est titulaire du CFA*, d'une Maîtrise de Gestion et d'un DESS « Banque et Finance » obtenus à l’Université Paris IX Dauphine.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
Carl Auffret, CFA
CFA – Gérant actions européennes
Carl Auffret est titulaire du CFA*, d'une Maîtrise de Gestion et d'un DESS « Banque et Finance » obtenus à l’Université Paris IX Dauphine.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
En 1999, il commence sa carrière chez SG Securities Ltd à Londres comme analyste sell-side sur le secteur des Biens de Consommation. En juillet 2003, il rentre en France et devient gérant-analyste sectoriel chez CM-CIC Asset Management avant de prendre en charge en 2005 la gestion du fonds « Union Europe Growth », un fonds de valeurs de croissance paneuropéennes.
En mai 2012, il rejoint l'équipe de gestion de DNCA Finance.
*CFA® et Chartered Financial Analyst ® sont des marques déposées appartenant au CFA Institute.
Répartition géographique
Fin août, les regards se sont tournés vers la réunion annuelle de Jackson Hole qui a laissé entrevoir un potentiel d'inflexion assez notable dans la Politique Monétaire de la Fed. A court terme, la probabilité d'une baisse de taux dès septembre a nettement augmenté, soutenue par plusieurs membres. Les marchés anticipent désormais trois baisses de taux d'ici mars. Le Chairman Jay Powell a aussi minimisé l'impact des tarifs douaniers, les qualifiant de « choc ponctuel sur le niveau des prix », ayant un impact transitoire sur l'inflation, ce qui a été perçu comme un pivot « dovish ». Tout en réaffirmant l'objectif d'une inflation à 2%, il semblerait aussi qu'il puisse tolérer des taux d'inflation plus élevés, et ce tant que le marché de l'emploi demeurera en phase de ralentissement. Rappelons l'interventionnisme important du Président Trump auprès de la Fed depuis plusieurs semaines, qui laisse aussi planer la menace d'une perte progressive d'indépendance. En parallèle, depuis l'annonce des barrières douanières de 15% sur la plupart des biens européens fin juillet, nous avons observé une relative accalmie sur ce front. Néanmoins des droits de douanes de 39% sont en vigueur sur les produits suisses depuis le 7 août. Nous sommes toujours en attente de plus de clarté sur les secteurs des semiconducteurs et de la santé.
L'actualité a été chargée sur la scène géopolitique avec l'organisation du sommet d'Anchorage le 15 août 2025. Ce sommet bilatéral entre les Etats-Unis et la Russie avait pour principal sujet de discussion la résolution du conflit russo-ukrainien. Les deux protagonistes se sont montrés constructifs au cours des discussions, avant que le Président Trump ne reçoive les dirigeants européens à Washington pour discuter des prochaines étapes. Malheureusement, nous n'avons pas à ce jour vu d'évolution positive depuis cet évènement.
Enfin, le Premier Ministre François Bayrou a agité la rentrée en France en annonçant un vote de confiance à l'Assemblée nationale, prévu pour le 8 septembre 2025, afin de valider son plan d'économie de 44 milliards d'euros. Cette décision intervient dans un contexte de forte pression politique et nous anticipons de nouveau à plusieurs semaines d'incertitudes politiques.
La majorité des sociétés en portefeuille avait publié leurs résultats au mois de juillet. Le mois d'août a néanmoins été marqué par une certaine volatilité. La mauvaise surprise a été l'émergence d'une thèse de disruption accélérée des sociétés de logiciels par l'intelligence artificielle, notamment après la publication des résultats de Monday.com aux Etats-Unis (-30% le jour de la publication). Cette thématique a pesé sur la performance de certaines sociétés que nous percevons pourtant comme bénéficiaire de l'IA (SAP -8%, Relx -12%), et qui avaient publié des résultats très solides en juillet.
De même, le secteur de la défense a été quelque peu impacté par les pourparlers entre les Etats-Unis et la Russie. A la suite du sommet de l'Otan du mois de juin, nous sommes désormais dans l'attente des prochains Capital Markets Day de l'automne, qui devraient être des catalystes positifs pour le secteur. Cela donnera l'occasion aux Management de donner des perspectives stratégiques et de réhausser les perspectives de croissance à horizon 2030, après une année d'évènements transformants. Dans l'intérim, après une phase de revalorisation assez forte, la moindre faux-pas est assez sévèrement sanctionné. Rheinmetall a publié des résultats solides et conformes aux attentes, ce qui n'a pas empêché le titre de perdre 8% le jour de la publication, à cause d'un retard dans les commandes, a priori décalées de quelques mois. Le management demeure très confiant sur le sujet.
Carel a publié des résultats très encourageants (+11% de croissance organique), après son timide rebond du premier trimestre. Après deux années difficiles pour le marché du HVAC (chauffage, ventilation, air conditionné), il semblerait que les phénomènes de déstockage (notamment pour les pompes à chaleur) soient derrière nous, et la société devrait bénéficier d'une robuste demande pour ses solutions et notamment ses produits utilisés dans les data center (+27% en Amérique du Nord au T2).
Kingspan (+0.7% organique au S1, en ligne avec le T1) a quelque peu déçu en donnant une guidance de profit pour 2025 en deçà des attentes des analystes. Le groupe souffre de l'absence de reprise des volumes de construction, aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis. Cela pèse sur sa division d'isolation. En revanche l'activité liée aux centres de données demeure robuste.
ID logistics continue de délivrer sur des bases élevées (+16.5% organique) avec une performance similaire en France comme à l'international. La société s'implante au Canada, où il semblerait qu'elle étende sa collaboration avec Amazon.
Novonesis a publié une solide croissance organique du chiffre d'affaires au T2 (+8%), mais le résultat opérationnel a quelque peu déçu (+7%), en raison d'effet changes et d'impact tarifs douaniers US plus pénalisants qu'anticipés. Le groupe a également dévoilé des objectifs 2030, qui prévoient une croissance organique moyenne annuelle de +6-9%, ainsi qu'une marge EBITDA de 39% (contre 37% à ce jour). Le groupe Danois domine très largement ses marchés sous-jacents, et l'ampleur de ses dépenses R&D (probablement 10x supérieures au N°2 du secteur) devrait lui permettre de poursuivre sa forte surperformance. Ces objectifs nous semblent tout à fait crédibles.
Au rayon des déceptions boursières, nous pouvons mentionner Flutter (-2% sur le mois), qui a perdu 8% le jour de la publication de ses résultats. La société avait pourtant relevé sa guidance, grâce au dynamisme du marché américain. La réaction nous a paru exagérée, il semblerait qu'elle ait reflété une légère inquiétude sur le nombre de nouveaux joueurs au sein de la division de paris sportifs.